Rigel • Cérberus is comming

1 ••• L’argent qui coule à flots pour deux héritiers enfin donner. Mais sous la vilénie de cette famille, ce sont bien trop souvent les ongles qui écorchent le marbre, car si le billet vert ne manque pas, en revanche l’amour est sources taris, bambin délaissé au bras d’une nurse, parents trompeurs, et que l’on surprend aisément dans les bras d’amants. Les enfants Roseas sont habillés, coiffés, et ont les parades tels des trophées ; puisqu’il est important dans ce monde abject qu’est la haute société d’engendrer des héritiers. Et si le premier né démontre de la rebellions, c’est le second à avoir vus le jour qui prend sa défense, qui encaisse parfois, et dénoues tant d’autre fois les colères diluviennes d’un paternel aigris par la vie menée. 2 ••• Sirius ne brille plus, mais Rigel éblouie, enfant qui donne le change, s’impose de rester dans les clous pour ne pas faire la une des journaux, vie qu’il mène avec parcimonie, les sorties sont rares disent-ils, mais le chérubin bat de ses ailes, et les soirées un peu trop alcoolisé il le connait bien, cercle d’amis privé, soirée outrageuse, et l’étoile s’isole pour ne pas vivre ce qu’on lui impose. Le myocarde assombri par tout ce qu’il ne désire pas mais qu’on lui donne. Enfant à la poigne de fer dans un gant de velours. Ange méphistophélique qui pour le bien de sa famille se contient, s’enchaine à un comportement que l’on glorifie de digne a trône crasseux qu’on lui promet ; si seulement ils savaient que des courbettes il n’en veut plus, que tant de soirs seuls dans son lit il hurle et pleure, les tripes tordue et les corps qui ne prend plus de poids tant le chérubin peut extraire par simple stresse toute nutrition de son corps. 3 •••La constellation devient noire, il n’y a plus aucune lumière qui illumine le corps inerte. Il hurle à la face du monde, la détresse qui lui sert le cœur alors que son âme s’effondre. Le corps de son jumeau étendu sur ce lit si froid, et l’overdose qui semble être la seule explication à cette raideur de sa part. Rigel il hurle son prénom. On lui arrache le corps de son jumeau de ses bras pour le mener de toute urgence à l’hôpital ; heures qui défilent, cruauté de Cronos qui s’amuse vilement de son sablier d’argent. Petit oisillon qui quitte le nid sans attendre, car le choc est trop dur, l’émotions bien trop dévastatrice, valises bouclées, et le chérubin qui décolle pour Falmouth. L’ombre encore bien trop présente d’une famille qui a détruit deux anges pas simple cupidité. Les constellations se sont éteinte avant même de pouvoir briller. 4 •••Colombe ravageuse, vingt-ans les bougies soufflé à Falmouth, terre de la sainteté à ses yeux, refuge de paix où il voit son jumeau œuvrer et trouver la place que le monde lui à toujours refuser. Alors que la constellation du grand chien ravive sa lueur, c’elle d’Orion se meurs dans une histoire épineuse à son cœur. Qu’elle était belle la jeune demoiselle qui pour la première fois à combler son cœur, mais l’amour ne dure que trois ans, et quand vient le moment, il se meurt, fane comme toutes les fleurs du jardin. Le myocarde qui se flétris, et le chérubin qui s’enferme dans des boulots qui ne sont pas fais pour lui, la psyché qui déraille et réclame plus d’acte que de paroles. Corps et âme perdue dans une université où l’ange aux ailes déchiqueté étudie le droit, alors que la petite amie s’en est aller, arrachant un bout de son humanité, vils et cruel monde, qui devient terre des enfers, territoire de jeu du malin, quand il sent le liquide chaud sur ses mains. Elle se meurt dans ses bras, l’abandonne à son sort, martelant définitivement ce besoin de justice, de purifier le monde. 5 ••• Il prend son envol, s’arrache le palpitant du corps quand il annonce à celui qui est son reflet dans le miroir qu’il doit partir, car son destin est ailleurs. Les années ont défilé, les réveils se sont enraillés à sonner bien trop de fois ; et enfin il trouve à son tour la voie qu’il veut suivre. Se sont les portes de Quantico qui s’ouvre devant ses pas. Vingt et une semaine de formation intensive attende l’ange déchu. Si la dureté des épreuves le mette à rude épreuve, c’est Chayton qui le soutient, frère qu’il n’as pas eu mais que la vie à mis sur son chemin. Un camarade, un ami, et meilleur ami, qui s’impose dans sa vie, duo qui rafles les première place. Duels amical, doucereuse amitié qui ravive le palpitant, et s’il ne voie plus autant son jumeau puisque chacun suit la voie qu’il à choisit, il peut toujours compter sur celui qui a pris place à ces côtés, qui est entré dans sa vie en en bousculant les portes. Viens aussi le troisième, plus sombre, plus lunatique, mais qui est tout de même un camarade, mais qui est aussi un petit ami peu exemplaire d’une jeune femme qui attire les opales du jeune athénien. 6 ••• Hommes de la justice, ils se sont attribué des rôles sans même le vouloir, cases dans les quels on les a jetés, puisque Rigel est la brute, Chayton à pris la place du bon, alors que leur camarade qui à été rejeté à l’examen final est devenue le truand, sans que les deux comparses ne le sachent. Il arrache pétale après pétales la beauté de c’elle qui a fauché le cœur de Rigel, amoureux silencieux, refusant d’aimer l’amie de ses songes, s’interdisant d’aimer la femme d’un autre. Mais la brute est une bête assoiffée de vengeance quand il découvre les bleues sur le corps de la petite fleur enchanteresse. Fille de la rosée, délicate exhale épineuse, qui s’est flétris sous la barbarie d’un monstre infâme. Mais il fallait bien que le duo s’immisce dans cette tragédie, faisant condamner leurs anciens camarades. Mais il faut un adieu à toute belle histoire qu’on nous autorise à vivre, et deux années se sont écoulé, leur formation sur le terrain et terminé, l’affectation pour Falmouth résonne encore, il faut y retourner, purifié cette ville si douce avant que l’ombre du mal n’y recouvre de son manteau toute la beauté et l’innocences des bambins de la terre d’idylle. 7 ••• Colocation qui impose le rythme de leurs vies, duo qui enchainent les conquêtes, et rit entre eux, tenant parfois à échanger sur les corps qui défont leur drap masculin, car elles sont doucereuses et alléchantes les courbes féminines. Parfois elles vont avec l’un puis on les retrouve le soir suivant dans les draps de l’autre. Jeunes qui s’amuse mais n’en reste pas moins des agents très prometteur que l’on impose dans une ville d’apparence très sereines. Sérieux implacables de deux jeunes à l’âge identique. Mais quand leurs valises touchent le sol de Falmouth, c’est vers son jumeau que l’ange déchu s’en retourne en premier, car il n’y a qui vers lui que ses pas le mènent à cet instant, laissant une adresse et des clés d’une maison vide depuis trois années à un colocataire qui doit se débrouiller pour s’installer. Rigel, homme changé, devenue la pierre froide de la justice, se laisse une ultime fois portée par la douceur de retrouvailles qu’il attendait avec impatience pourtant charger d’un dossier lourd, les cobra, gang qui sévis et meurtrie au fer rouge la petite ville paisible. 8 •••Légende encrée au noir sur son corps, tatouage nombreux et pourtant si différent de ceux de son jumeau. Ils parlent, susurres des brides d’une histoire décousue. Sans que personne n’en connaisse les sens et les tournures dissimulé. Il cache, n’avoue rien, pas même un murmure soufflé à demi-mot contre le vent, car son histoire parfois sanglante reflète la honte d’une riche famille. Tabloïde absent, mais qu’il s’inflige à lui-même sur le derme, piercings de jeuneuse qu’il ne porte plus, car sous l’habit civile se cache la plaque justicière, et il doit donner le change, bien que sa mission soit d’infiltrer un gang en d’en découdre les moindres points solidement ficelés à la machine du crime. Les pensés vole et vont à la grande ville qui a vus ses deux années formatrices sur le terrain, car elle est restée derrière la douce colombe, qu’il ne reverra certainement jamais, la belle fleure au caractère épineux, qui à elle aussi trouver sa place sur son derme dans un dessins qu’il a lui-même réaliser, car chaque marque noire sur son corps est de sa propre œuvre. 9 •••Petit accord jouer au détour d’un feu de cheminée pour l’ouïe uniquement de ce colocataire qui emplis sa vie, bat la mesure de son quotidien, guitare dont il chatouille les cordes, bien trop douée, mais l’ange à la modestie ne s’avoue qu’amateur là où il n’en est pas un. Et la voix qui résonne dans la demeure, paroles qu’il écrit aux grés de ces humeurs. Passe-temps ou réelle passion, il ne vous en avouera point la réponse, puisqu’il est lui-même parfaitement impossible d’y répondre. Et il chante, fredonne des paroles qui ont noircie une feuille blanche, complimenté, mais bien trop facilement agacé par les émotions qu’il insuffle par la doucereuse mélodie qu’il joue. 10 ••• Véritable accro au cocooning, il n’est pas rare de le voir sur ses repos flâner de boutique en vitrine. Demeure à l’intérieur soigneusement décoré, il n’y a que pour cela qu’il use de la fortune familiale, pour ses envies capricieuses. Un cadre sur le mur, un plaid sur le canapé, et si on trouve un confort qui vous donne envie de rester, la maison n’en reste pas moins masculine. On le flatte, on approuve, et Rigel change pourtant si souvent de décoration, à moindre mesure, un oreiller ici, un rideau à changer, il en faut parfois peu pour qu’un intérieur soit remodeler.